Analyse Psychédélique [analiz psikédélik] n. f. (lat. analisis, grec. psychis-dilicious (petit champignon hallucinogène délicieux (Avec un goût de fraise (des bois (pas des champs))))) Analyse qui consiste à la critique Sartrienne des faits et dires d'une personne selon une suite d'associations d'iddées (avec 2D, car c'est desiddées, y'en a beaucoup). || Glace au goût rappelant le psychis-dilicious.

Encycl. Dans une lettre de Sartrieux, envoyée en 18073 BI (1884 APJC), à son Cousin André, apparaissent les premiers soupçons de l'analyse psychédélique. Sartrieux demandait en effet à son amis s'il connaissait avec précision, le cour du saumon. Malheureusement, son cousin ne reçu jamais la lettre et l'analyse psychédélique, dû encore attendre quelques année avant de faire surface. C'est en 18093, que par un curieux hazard (avec un z comme dans cheval), Marcel de Cheval découvrit en allant chercher son journal, la raison pure et originel de l'analyse psychédélique. En effet, la mode de l'époque fit que certain journaux avaient décidés d'utiliser le psychis-dilicious dans la fabrication de l'encre (cette mode ne fit d'ailleurs pas long feu, car c'est cette année que l'on expérimenta pour la première fois l'encre à basse d'artichaut de Colombie). Notre Marcel, donc, comme tous les matin, se prépara une infusion à base de journal qui était sensée apporter la connaissance et la maîtrise du savoir (On a récemment démontré que ça ne marchais pas du tout (pas du tout (ne faite pas l'expérience ça ne sert à rien, Marcel était un professionnel, et vous risquez de vous blesser en faisant chauffer l'eau (NdLR L'Encyclopaedia Antoinalis décline toute responsabilité que vous suiviez ou non ces conseils)))). Où en étais-je ? Ah oui, je parlais de l'analyse psychédélique. Après son discours dont je parlais tout à l'heure, Marcel réunis tous ses disciples et fonda officiellement l'analyse psyjournalique. En effet, Marcel ne savait pas qu'il y avait un rapport avec l'encre du journal.

Bien plus tard, en 18123, à Santa-Cruz, Momo se rendit au puis pour chercher de l'eau, mais il ne savait pas que le sot était percé.

En 18152, une jeune jouvencelle, nommée Dark Jeanne, malencontreusement perdue sur un champ de bataille mordit la poussière et avala notre fameux champignon. Les effets sur la bienheureuse furent immédiats. Quelle ne fut point la surprise de ses adversaires lorsqu'elle les analysa psychédéliquement. Cela leur fit un tel effet de fussoir qu'ils coururent pour en cueillir eux aussi. Et c'est ainsi que naquit l'analyse tel que nous la connaissons tous aujourd'hui.

Exemple afin de mieux appréhender toute la complexité de l'analyse psychédélique : "Le petit chien court dans le jardin." : Tout d'abord, rien qu'à la vue du premier mot, nous pouvons affirmer que le personnage qui a écrit cette phrase ne manque pas de singularité. Ensuite, le "petit chien" montre que notre personnage en question peut parfois se montrer violent. En effet, le chien nous fais penser immédiatement au chien d'un pistolet, arme que l'on peut qualifier de violente, néanmoins, comme notre personnage est grand, comme nous le verrons plus loin, le fais que le chien soit petit nous mènes à penser qu'il n'est pas forcement facile à utiliser, et donc que cette violence, que nous croyons tout à l'heure explosive est en fait plutôt une violence soit intérieure, soit qui a du mal à s'exprimer. Passons au mot suivant : "cour avec un T". De toute évidence nous avons affaire à un personnage plutôt aventureux, je dirais même instable. En effet, courir avec un T, c'est comme courir avec une sucette à la bouche, mais en plus dangereux. Imaginez un peu le risque ! Bon, passons : "dans le jardin". On vois ici... mais... oups, j'oubliais le plus important : l'espace avant le "dans". En effet, notre personnage est peut-être aventureux, mais il sait prendre des précautions : courir avec un T dans un grand espace blanc, c'est déjà beaucoup plus sage ! Revenons donc à notre jardin. Ici, nous voyons que le personnage mystérieux est grand et haut. En effet, le fait qu'un petit chien courT dans un jardin suppose que le jardin est grand. Vous connaissez les petits chiens ? Ils courent, courent, courent, courent, courent, et n'arrivent plus à s'arrêter. Forcement il faut beaucoup d'espace. De toute cette analyse, bous pouvons déduire que l'auteur de cette phrase est incontestablement un grand magnaco-dépressif à tendance autistique.